Home » Infografia » A che età dovrei iniziare a fare le iniezioni agli zigomi?
En médecine esthétique, les injections d’acide hyaluronique au niveau des pommettes occupent une place centrale. Ce traitement permet de redonner du volume au visage, de rétablir une structure harmonieuse et de corriger les premiers signes de relâchement. Mais une question revient souvent en consultation : faut-il attendre que le vieillissement s’installe ou intervenir plus tôt ? Et surtout, à quel âge est-il pertinent de commencer les injections de pommettes ?
Il n’existe pas de réponse universelle, car chaque visage a sa propre histoire. L’âge idéal ne se mesure pas uniquement en années, mais dans l’évolution des traits, la qualité des tissus et les attentes individuelles. Pourtant, certaines lignes directrices permettent de mieux comprendre quand, pourquoi et comment avoir recours à ce geste esthétique, dans une logique de prévention, de correction ou d’embellissement.
Les pommettes structurent le visage. Lorsqu’elles sont pleines et bien positionnées, elles soutiennent les tissus environnants, donnent de la lumière au regard et participent à l’équilibre global des traits. Avec le temps, leur volume diminue : la graisse profonde fond lentement, l’os malaire se résorbe, les ligaments se relâchent. Le visage perd alors en projection, les joues s’affaissent, les sillons se marquent, et l’ovale devient moins defini.
Ce processus de vieillissement, progressif et silencieux, débute souvent dès la trentaine. Il ne s’agit pas d’une modification soudaine, mais d’une transformation lente, qui altère subtilement la perception du visage. Dans ce contexte, les injections de pommettes constituent une réponse ciblée : elles permettent de redonner du soutien, de restaurer la convexité naturelle du visage, et d’en préserver la fraîcheur.
Beaucoup de personnes pensent qu’il y a un âge idéal pour commencer les injections au niveau des pommettes. En réalité, ce n’est pas une question d’âge, mais plutôt d’observation. Chaque visage évolue différemment, et c’est cela qui doit guider la décision.
Deux femmes du même âge peuvent avoir des visages très différents : l’une peut garder un visage plein et ferme, alors que l’autre peut déjà montrer des signes de perte de volume au niveau des pommettes, avec un visage un peu creusé ou fatigué. Cela peut dépendre de la morphologie, du mode de vie ou de l’hérédité.
Le rôle du médecin est d’évaluer finement cette évolution. On regarde la qualité de la peau, la forme des pommettes, la mobilité des tissus, et l’équilibre global du visage. C’est cette analyse personnalisée qui permet de déterminer s’il est pertinent d’intervenir. Il ne s’agit jamais de suivre un protocole rigide, mais de répondre à un besoin réel, avec précision et justesse.
Avant 30 ans, les injections au niveau des pommettes sont peu fréquentes. À cet âge, les volumes du visage sont en général bien conservés. Mais dans certains cas, une prise en charge plus précoce peut être justifiée. C’est notamment le cas lorsque les pommettes sont naturellement peu marquées ou quasi absentes, ce qui donne un visage plat, parfois fatigué, même chez une personne jeune.
Dans ce contexte, il ne s’agit pas de corriger un signe de vieillissement, mais d’apporter un meilleur équilibre au visage. Une injection légère, bien localisée, permet de redonner un peu de relief aux pommettes, sans en faire trop. Le but est d’obtenir un résultat discret, harmonieux et naturel. Il ne s’agit pas de transformer, mais simplement de mettre en valeur la structure du visage, dans une démarche d’embellissement mesurée.
C’est souvent entre 30 et 45 ans que les premières pertes de volume au niveau du visage commencent à se faire sentir. Elles restent généralement subtiles, mais le visage peut paraître un peu plus fatigué, moins lumineux. Les pommettes perdent en relief, et les tissus commencent doucement à se relâcher.
Intervenir à ce stade présente plusieurs intérêts. La peau est encore de bonne qualité, ce qui permet d’obtenir un résultat naturel avec peu de produit. C’est aussi une approche préventive : elle aide à freiner le relâchement, à limiter l’apparition des sillons, et à préserver l’ovale du visage.
Le traitement reste léger, progressif, et vise à accompagner l’évolution naturelle du visage. Bien réalisé, il permet de redonner un peu de structure, d’ouvrir le regard et d’apporter un effet « reposé », sans jamais figer les expressions. Le but n’est pas de transformer les traits, mais de maintenir l’harmonie du visage dans le temps.
Après 45 ou 50 ans, la perte de volume au niveau des pommettes devient plus marquée. Les joues s’aplatissent, les plis nasogéniens se creusent, et le regard peut sembler plus dur ou plus fatigué. À ce stade, les injections conservent toute leur efficacité, mais elles s’inscrivent souvent dans une approche plus globale de rajeunissement du visage.
L’acide hyaluronique permet alors de redonner de la structure à la partie centrale du visage, de soutenir les tissus et de rendre les contours plus harmonieux. L’injection doit être précise, réalisée au bon endroit et modérée en termes volume. L’objectif est d’obtenir un effet liftant naturel, sans excès ni aspect figé.
Selon les besoins, ce geste peut être complété par d’autres traitements : techniques de lift médical, Skinboosters, photorajeunissement laser.
Il est important de rappeler qu’un traitement commencé plus tôt est souvent plus simple, plus léger et son résultat plus naturel. Lorsque les signes sont très installés, la correction demande plus de produit, plus de technicité, et peut parfois modifier l’expression du visage si elle n’est pas parfaitement réalisée.
Il est essentiel de comprendre que le vieillissement du visage ne suit pas le même rythme chez tout le monde. La morphologie joue un rôle clé. Certaines personnes, en raison de leur structure osseuse ou de leur héritage génétique, voient leurs pommettes perdre du volume plus tôt. C’est souvent le cas des visages très fins, avec peu de graisse sous-cutanée ou un squelette peu marqué.
Les différences ethniques peuvent aussi influencer l’aspect des pommettes. Par exemple, chez certains profils asiatiques ou nord-européens, les pommettes sont naturellement moins projetées, ce qui peut donner un air fatigué même à un visage jeune.
Dans ces cas, il est tout à fait pertinent d’intervenir tôt, parfois dès la fin de la vingtaine. L’objectif n’est pas de rajeunir, mais d’harmoniser les volumes du visage. On agit ici sur la structure, dans une logique morphologique, pas dans une démarche anti-âge.
À l’inverse, d’autres visages plus pleins, avec un squelette plus marqué, conservent naturellement une belle projection des pommettes bien au-delà de 45 ans, sans besoin d’intervention.
Tout cela montre que l’âge n’est qu’un repère, pas un critère en soi. Seule une analyse personnalisée permet de déterminer si un traitement est justifié, et à quel moment il est pertinent de le réaliser.
Commencer les injections des pommettes tôt, lorsque la peau est encore ferme et élastique, permet d’obtenir des résultats à la fois plus naturels et plus durables. À ce stade, les tissus sont encore bien vascularisés, la structure graisseuse est intacte, et la peau réagit mieux aux produits injectés. L’acide hyaluronique s’intègre de façon homogène, ce qui assure une belle tenue des volumes dans le temps.
Un autre avantage d’une intervention précoce, c’est qu’elle demande peu de produit. Le résultat d’une injection légère, au bon endroit, peut durer 18 à 24 mois. À l’inverse, lorsqu’on attend que les signes de relâchement soient plus marqués, les volumes à restaurer sont plus importants, les gestes plus techniques, et l’effet plus difficile à équilibrer.
En médecine esthétique, le bon moment pour traiter a un impact réel sur la qualité du résultat, sa stabilité, et la simplicité du suivi. Mieux vaut prévenir que corriger.
Bien que la consultation de médecine esthétique repose avant tout sur une analyse clinique et morphologique précise, il est indispensable de prendre en compte le contexte psychologique et social dans lequel s’inscrit la demande du patient. Aujourd’hui, la pression liée à l’apparence s’exerce de plus en plus tôt. Dans certains milieux professionnels, l’image projetée compte parfois autant que les compétences réelles. Ainsi, de nombreuses femmes — et de plus en plus d’hommes — ressentent, dès la trentaine, le besoin d’embellissement et d’avoir un air plus reposé.
Cette pression sociale peut générer des demandes précoces, parfois en décalage avec les signes objectifs du vieillissement. Dans ce contexte, le rôle du médecin est central : il doit savoir accueillir la demande avec bienveillance, sans jugement. Réaliser un traitement sans indication réelle comporte le risque de résultats artificiels et d’actes inutiles.
En revanche, lorsqu’un début de perte de structure se manifeste, même discrètement, une intervention subtile et ciblée peut répondre à une attente légitime. Réalisé avec justesse, l’injection des pommettes permet de préserver l’équilibre du visage sans en figer les expressions.
L’indication esthétique ne peut donc se résumer à une analyse objective : elle repose aussi sur la manière dont chaque patient perçoit et vit son image. C’est pourquoi le médecin doit accompagner cette démarche avec discernement, en s’appuyant sur une évaluation rigoureuse, guidée non par les modes, mais par la justesse du diagnostic.
Le choix des produits pour les injections de pommettes dépend de plusieurs facteurs : l’âge du patient, la qualité des tissus, et l’objectif du traitement. Chez les patients jeunes, entre 25 et 35 ans, on utilise des acides hyaluroniques souples, peu réticulés, injectés en faible quantité et en profondeur. Le but est d’apporter un léger soutien à la structure osseuse, sans modifier les volumes ni alourdir le visage. L’effet doit rester discret, presque invisible, en harmonie avec la morphologie du patient.
Avec le temps, les besoins évoluent. Après 45 ans, on se tourne vers des gels plus cohésifs, capables de restaurer une véritable architecture. À cet âge, l’acide hyaluronique sert à compenser la fonte graisseuse et la perte de soutien osseux. Les injections deviennent plus techniques, parfois réparties sur plusieurs plans, pour redonner du volume sans figer les expressions.
Cette précision dans le choix des produits et des techniques reflète l’évolution de la médecine esthétique. Aujourd’hui, chaque traitement est pensé sur mesure, en fonction de la physiologie du patient. Ce n’est pas seulement le besoin qui change avec l’âge, mais aussi la façon d’injecter, le type de gel utilisé, et le résultat recherché.
C’est cette personnalisation qui permet d’obtenir des résultats à la fois naturels, durables, et fidèles à l’identité de chaque patient.
Articolo scritto dalla Dott.ssa Romano Valeria
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