Home » Infografia » Ci sono effetti collaterali o rischi per le iniezioni agli zigomi ?
Les injections des pommettes font partie des traitements les plus performants pour restaurer les volumes du visage, mettre en valeur sa structure, et prévenir l’affaissement du tiers moyen. Réalisées avec de l’acide hyaluronique, une substance naturellement présente dans notre organisme, elles offrent un résultat immédiat, harmonieux, sans anesthésie générale, ni éviction sociale. Mais comme tout acte médical, même léger, elles impliquent des effets secondaires possibles et des risques, qu’il convient de connaître, sans les dramatiser.
Dans un contexte où la médecine esthétique est de plus en plus répandue, et parfois banalisée à tort, il est essentiel de rappeler que l’injection des pommettes demeure un acte technique qui doit être réalisé de manière très précise. Son efficacité repose autant sur la qualité du produit que sur la compétence du médecin. L’information du patient est donc un préalable fondamental : elle garantit une prise en charge sereine, éclairée, et conforme aux standards médicaux les plus exigeants.
Les effets secondaires les plus fréquents observés après une injection des pommettes sont légers, transitoires, et parfaitement normaux. Ils sont liés à la nature même du geste : le passage d’une canule ou d’une aiguille sous la peau, l’introduction d’un produit, et la réaction locale des tissus.
Le plus souvent, ces réactions disparaissent spontanément en quelques heures à quelques jours :
Ces effets sont prévenus, en grande partie, par l’expérience du médecin et le choix d’un bon produit. Leur gestion repose sur des conseils simples : éviter le sport intense pendant 24 heures, ne pas masser la zone injectée, éviter la chaleur excessive (sauna, hammam), et appliquer du froid localement si nécessaire.
Si les effets secondaires sont bénins dans la majorité des cas, il existe aussi des risques plus rares, mais connus et maîtrisés lorsqu’ils sont bien anticipés. Ces complications surviennent de manière exceptionnelle, mais doivent être expliquées clairement au patient avant tout traitement.
La complication la plus grave, bien que très rare, est la survenue d’une obstruction vasculaire si le produit est injecté dans un vaisseau sanguin. Cela peut entraîner une ischémie locale, voire une nécrose si elle n’est pas rapidement prise en charge.
Dans le cas des pommettes, cette complication est encore plus rare que pour d’autres zones (comme le nez ou les sillons nasogéniens), car la vascularisation y est plus profonde et les repères anatomiques bien définis. Néanmoins, ce risque impose une connaissance parfaite de l’anatomie du visage, l’usage de canules émoussées plutôt que d’aiguilles dans la majorité des cas, une injection lente, prudente, avec aspiration préalable en cas de doute, la disponibilité immédiate de la hyaluronidase en cabinet.
Ce type d’accident survient presque exclusivement dans des contextes non médicaux, ou lorsque l’injection est réalisée par des personnes non qualifiées. En cabinet médical, ce risque est anticipé, prévenu, et maîtrisé.
Ce qu’il faut retenir, c’est que les risques liés aux injections des pommettes ne doivent ni être négligés, ni exagérés. Bien informé, le patient peut bénéficier de ce traitement en toute sécurité. À Genève, dans un cabinet de médecine esthétique haut de gamme, chaque étape du soin est pensée pour garantir cette sécurité : sélection rigoureuse des indications, produits de qualité pharmaceutique, certifiés, injection réalisée par un médecin expérimenté, suivi post-injection et disponibilité du médecin en cas de besoin.
S’il est vrai que les effets secondaires des injections des pommettes sont rares et généralement bénins lorsqu’elles sont réalisées par un médecin expérimenté, il faut souligner que la majorité des complications graves recensées dans la littérature médicale surviennent hors cadre médical strict.
Ces injections sont parfois proposées dans des contextes inadaptés : instituts esthétiques non médicaux, salons privés, plateformes éphémères ou à l’étranger, par des intervenants non médecins, parfois sans diplôme reconnu. Dans ces environnements, ni l’anatomie, ni l’hygiène, ni les protocoles d’urgence ne sont maîtrisés.
Les conséquences peuvent être sérieuses : infections non traitées, embolies non diagnostiquées, asymétries majeures, corrections excessives, utilisation de produits douteux. Dans certains cas, les patients consultent après plusieurs semaines, voire plusieurs mois, avec des nodules persistants ou des inflammations chroniques, rendues complexes à traiter en raison d’un historique flou, de produits non identifiés, ou d’injections mal réalisées.
Il faut rappeler que seul un médecin est habilité à réaliser une injection d’acide hyaluronique. La formation du médecin repose non seulement sur la connaissance de l’anatomie faciale, mais aussi sur la gestion des complications, la stérilité des conditions, le choix du bon produit pour le bon patient, et la capacité à intervenir rapidement en cas de besoin (avec, par exemple, la hyaluronidase).
La sécurité, dans ce domaine, ne dépend pas uniquement du produit, mais surtout de la compétence du médecin, du respect des règles médicales, et de la traçabilité complète des produits.
En médecine esthétique, les complications ne sont pas seulement médicales. Il existe aussi un risque d’ordre esthétique, parfois plus lourd de conséquences qu’une simple réaction clinique. Un résultat inadapté — même sans incident technique — peut profondément altérer la perception de soi. Malaise, perte de confiance, impression de ne plus se reconnaître : ce type de déséquilibre, rarement évoqué, est pourtant bien réel. Il doit être anticipé avec autant de rigueur que les risques physiques.
Les injections des pommettes exigent une compréhension fine de la structure faciale, mais aussi de l’identité du visage dans son ensemble. Une correction excessive, même minime, peut suffire à rompre un équilibre subtil : pommettes trop pleines, traits figés, regard alourdi. Ce glissement, souvent dû à une mauvaise appréciation du relief ou à un excès de zèle, peut aboutir à un résultat figé, artificiel — à l’opposé du naturel recherché.
Le risque est encore plus marqué lorsque l’on réalise des protocoles standardisés, sans tenir compte des particularités de chaque visage. Injecter un volume trop important sur un visage fin, choisir un plan d’injection inadapté : ces erreurs techniques modifient non seulement l’apparence, mais aussi la dynamique du sourire, l’expression, parfois même l’émotion qu’un visage dégage.
Mais le risque esthétique ne se limite pas au visible. Il touche aussi le ressenti du patient. Certaines personnes, même après un acte techniquement irréprochable, peuvent éprouver un sentiment d’étrangeté face à leur reflet. Ce décalage entre l’intention initiale et le résultat perçu est un échec silencieux, qu’un bon accompagnement peut parfois rattraper, mais qu’un dialogue en amont aurait souvent permis d’éviter.
En cas de correction excessive, l’injection de hyaluronidase permet, si nécessaire, de corriger ou d’atténuer le volume. Mais la vraie réponse ne réside pas dans la correction, elle commence bien avant : dans la maîtrise du geste, dans la culture esthétique du médecin, et surtout dans la qualité de l’échange avec le patient. Une injection réussie est toujours le fruit d’un regard juste et d’une intention claire — respectueuse des contours, de la personnalité, et de la beauté propre à chaque visage.
Articolo scritto dalla Dott.ssa Romano Valeria
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