QUAND FAIRE UN SKINBOOSTER ?

Soins Skinbooster à Genève

Les injections de Skinbooster sont un traitement efficace, mais le bon timing maximise les bénéfices.

Le Skinbooster est aujourd’hui l’un des traitements les plus appréciés en médecine esthétique. À la différence des injections classiques d’acide hyaluronique et de Botox, il ne vise pas à modifier les volumes ou figer les muscles du visage, mais à améliorer durablement la qualité de la peau : souplesse, éclat, hydratation, densité.

Mais si son action est progressive et naturelle. Pour que les résultats soient pleinement visibles, encore faut-il choisir le bon moment. Alors, quand faire un Skinbooster ? À quel âge ? À quelle période de l’année ? Et dans quelles situations cliniques ? Voici les réponses.

Sommaire

À partir de quel âge commencer les Skinboosters ?

Le Skinbooster peut être proposé dès l’âge de 25 à 30 ans, dans une logique de prévention. Il ne s’agit pas de “rajeunir”, mais de préserver une peau encore jeune mais déjà soumise à des facteurs de déshydratation et de stress cutané (pollution, fatigue, UV, tabac…).

Avant 35 ans, une ou deux séances annuelles suffisent souvent à :

  • maintenir un bon niveau d’hydratation dermique,
  • éviter l’installation de ridules précoces,
  • préserver l’élasticité naturelle de la peau.

Après 35 ou 40 ans, les Skinboosters deviennent particulièrement intéressants pour préserver la densité cutanée. Le protocole peut alors s’intensifier, avec deux à trois séances rapprochées, suivies d’un entretien tous les 10 à 12 mois.

Quand faire un Skinbooster dans l’année ? Le bon rythme saisonnier

Le printemps et l’automne sont les périodes les plus stratégiques pour démarrer une cure de Skinbooster. Pourquoi ?

  • Au printemps, le Skinbooster prépare la peau aux agressions estivales (soleil, sel, chlore), la renforce, améliore sa capacité à retenir l’eau.
  • À l’automne, le Skinbooster permet de réparer les effets d’un été souvent agressif : dessèchement, perte d’éclat, grain de peau irrégulier. C’est aussi une période idéale pour intégrer le Skinbooster dans une routine de soins post-vacances ou post-exposition, où la peau est souvent altérée.

L’hiver peut être également un bon moment, notamment pour les peaux très sèches

Quand faire un Skinbooster dans une routine esthétique globale ?

Le Skinbooster peut être envisagé seul, ou en complément d’autres traitements esthétiques.

En alternance avec le Botox ou les injections volumatrices

Il complète idéalement un protocole à base de Botox ou d’acide hyaluronique classique. Ces traitements agissent sur les rides ou les volumes, le Skinbooster agit sur la texture, la souplesse, et la densité cutanée.

Il est donc souvent prescrit après ou entre deux séances de Botox ou d’acide hyaluronique, pour renforcer l’effet “peau jeune”.

Après un accouchement, un stress prolongé, un changement de saison 

La peau peut être altérée à certains moments de la vie, même chez les personnes jeunes. Fatigue, troubles hormonaux, tabac, nuits courtes, exposition solaire… autant de facteurs qui altèrent la luminosité, la tonicité, la finesse du grain de peau.

Le Skinbooster agit alors comme une véritable cure de revitalisation, redonnant à la peau son éclat, sa souplesse et sa densité, tout en respectant l’intégrité des traits.

À quel moment du mois ou de la semaine programmer une séance ?

Le Skinbooster est un traitement discret, sans éviction sociale. Il peut donc être réalisé quand le patient le souhaite, sans forcement le programmer, même pendant une semaine de travail. Toutefois, pour optimiser confort et résultats, il est conseillé de :

  • éviter une injection juste avant un événement important, en cas de petite rougeur ou d’ecchymose ;
  • programmer la séance en début de semaine, pour avoir un nouvel éclat en démarrant la semaine ;
  • ne pas prévoir de soin esthétique agressif dans les jours qui suivent (peeling, laser, gommage …).

Enfin, il est déconseillé de faire un Skinbooster le jour même ou le lendemain d’une exposition solaire prolongée. Il est possible d’y avoir recours  juste avant de prendre l’avion, le voyage n’aura aucun impact sur le résultat.

Peut-on faire un Skinbooster en été ou avant les vacances ?

Oui, le Skinbooster n’est pas photosensibilisant. Il peut donc être réalisé en été, à condition de protéger la peau du soleil dans les 48 à 72 heures qui suivent.

Avant un départ en vacances, il est même stratégiquement intéressant, car il permet :

  • de préparer la peau au soleil,
  • d’améliorer l’éclat sans maquillage,
  • de réduire les ridules visibles en lumière naturelle.

Il est toutefois préférable de le programmer une semaine avant le départ, pour laisser au produit le temps de s’intégrer.

Skinbooster après une intervention esthétique ou une chirurgie

Le Skinbooster trouve également toute sa place en phase d’entretien, une fois la peau cicatrisée après certains gestes médicaux ou chirurgicaux. Il permet d’assouplir les tissus, d’uniformiser la texture cutanée sur les zones traitées, et de raviver l’éclat d’un visage récemment corrigé. En ce sens, il est souvent recommandé après une blépharoplastie, une lipofilling du visage ou un lifting, comme soin de finition, destiné à parfaire le rendu et à sublimer la qualité de peau.

Conclusion : quand faire un Skinbooster ?

Choisir le bon moment pour une injection de Skinbooster, c’est déjà optimiser le résultat.

Faire un Skinbooster, c’est investir dans la qualité de sa peau à moyen et long terme. Mais pour en tirer tous les bénéfices, le moment du traitement compte : âge, saison, rythme de vie, contexte personnel, tout peut influencer le résultat.

En prévention dès 25-30 ans, en entretien à partir de 40 ans, ou en soutien post-acte, ce soin trouve sa place dans toutes les stratégies esthétiques modernes.
C’est un traitement que l’on peut intégrer avec mesure, intelligence et régularité, pour préserver l’éclat, la densité et la tonicité du visage, sans jamais le transformer.

Photo docteur Valeria Romano à Genève

Article rédigé par le Dr Romano Valeria

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